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À la suite d’un réexamen au titre de la recommandation concernant la levée progressive des restrictions temporaires appliquées aux déplacements non essentiels vers l’UE, le Conseil a mis à jour la liste des pays, régions administratives spéciales et autres entités et autorités territoriales à l’égard desquels les restrictions en matière de déplacements devraient être levées. En particulier, le le Rwanda a été rajouté à la liste.

Sur la base des critères et conditions énoncés dans la recommandation, à compter du 23 septembre 2021, les États membres devraient progressivement lever les restrictions de déplacement aux frontières extérieures pour les résidents des pays tiers suivants:
Australie
Canada
Chili (nouveau)
Jordanie
Koweït (nouveau)
Nouvelle-Zélande
Qatar
Rwanda (nouveau)
Arabie Saoudite
Singapour
Corée du Sud
Ukraine
Uruguay

 Chine, sous réserve de confirmation de la réciprocité

Les restrictions en matière de déplacements devraient aussi être progressivement levées pour les régions administratives spéciales de Hong Kong et de Macao de la République populaire de Chine.
Dans la catégorie des entités et autorités territoriales non reconnues comme États par au moins un État membre, les restrictions de déplacements pour Taïwan devraient également être progressivement levées.
Les résidents d’Andorre, de Monaco, de Saint-Marin et du Vatican devraient être considérés comme des résidents de l’UE aux fins de cette recommandation.
Le Conseil a indiqué  que les États membres peuvent lever les restrictions temporaires en matière de déplacements non essentiels vers l’UE pour les voyageurs entièrement vaccinés.
Comme indiqué dans la recommandation du Conseil, cette liste continuera de faire l’objet d’un réexamen toutes les deux semaines et sera mise à jour, le cas échéant.
Les critères permettant de déterminer les pays tiers pour lesquels les restrictions actuelles de déplacement devrait être levées ont été mis à jour le 20 mai 2021. Ils concernant la situation épidémiologique et la réaction globale face à la COVID-19, ainsi que la fiabilité des informations et des sources de données disponibles. Il convient aussi de tenir compte, au cas par cas, de la réciprocité.
Les pays associés à l’espace Schengen (Islande, Liechtenstein, Norvège, Suisse) participent également à cette recommandation.
La recommandation du Conseil n’est pas un instrument juridiquement contraignant. Les autorités des États membres restent responsables de la mise en œuvre du contenu de la recommandation. Elles peuvent, en toute transparence, ne lever que de manière progressive les restrictions de déplacement à l’égard des pays figurant sur la liste.
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